Le bonheur au travail semble ne pas concerner la plupart des travaileurs… En effet, selon un reportage réalisé par Arte et diffusé le 24 février dernier :

  • seulement 9% des personnes seraient des collaborateurs « engagés » heureux d’aller au travail.
  • 65% seraient des collaborateurs désengagés qui viennent au travail en traînant les pattes avec pour objectif principal de « partir le plus vite possible ».
  • 26% sont fortement désengagés, ils sont malheureux d’aller au travail et cela peut générer chez certains des comportements toxiques : « Sabotages, dépressions, contamination d’autres collaborateurs… ».

Des chiffres préoccupants qui dénotent un pessimisme général…

Pourtant ce que recherchent la plupart des actifs est de pouvoir concilier vie professionnelle et vie privée. A l’heure du numérique, nous assistons à un changement des organisations du travail. Ainsi, pouvoir travailler à des horaires plus flexibles est devenu un enjeu pour de nombreuses entreprises qui ont compris que l’épanouissement des salariés était vecteur de productivité et d’efficacité (selon la caisse des dépôts et conciliation, un salarié qui peut travailler à distance est 7% plus productif).

Par ailleurs, les entreprises qui autoriseraient plus de flexibilité dans leur management gagneraient en réalité beaucoup plus que ça : des collaborateurs plus impliqués, plus motivés, plus autonomes et une  image positive d’une entreprise responsable puisqu’un salarié qui télé-travaille dans un tiers-lieu proche de chez lui permet à l’entreprise de réduire son empreinte carbone.

Le bonheur au travail c’est retrouver le plaisir de travailler et pour cela, il existe des solutions.